Un organisateur de soirées clandestine était l’invité hier soir sur TPMP, et ont fait énormément parler entre Delormeau, Verdez et Cyril Hanouna, qui se sont affrontés sur le bien fondé de ces soirées.
Le mécontentement des jeunes prêts à aller en boîtes de nuit clandestines est-il justifié ?
Les boîtes de nuit sont des endroits qui attirent en majorité les jeunes qui y font la fête et se divertissent. Depuis Novembre 2019, le monde est secoué par la pandémie du COVID-19. Celle-ci restreint donc considérablement les ouvertures de pareils endroits. Cela provoque le mécontentement de jeunes gens qui y vont de manière clandestine. Notre article apportera plus de détails et de précisions sur le sujet.
Pour une fête entre amis, une sortie voire même un anniversaire, les boîtes de nuit représentent le lieu idéal pour les jeunes gens généralement. Avec la crise sanitaire, ça n’aide pas. En effet, depuis deux ans, les boîtes de nuit n’ont été ouvert que 5 mois. Impatients face à cette situation, les adeptes de cet endroit prennent des initiatives et y organisent des soirées clandestines.
Soirées au cours desquelles aucune restriction sanitaire liée à la pandémie n’est respectée. Cela peut considérablement répandre le mal. Mais, cela dépend du niveau de responsabilité de chacun. On peut organiser une soirée clandestine tout en faisant respecter les gestes barrières par des responsables et des professionnels du métier. C’est beaucoup mieux qu’une soirée clandestine sans le suivi des mesures barrières. De même, sans soirée, l’inobservation des gestes barrières est un acte non responsable.
Devant l’immeuble de la boîte de nuit, il y a une entrée et sortie de gens. Pourtant, la police ne constate rien. Une personne présente affirme même qu’il y a une voiture de police nationale qui est passée lorsqu’elle est sortie. Vu de l’extérieur, l’établissement paraissait tellement normal que l’on ne se doute de rien. On ne perçoit même pas le son de la musique. Les hommes étaient en costumes et des femmes en talons, bien habillés, ça aurait quand même pu éveiller les soupçons de la police et attirer leur attention.
Pour ce genre soirée, les horaires varient en fonction de l’organisateur. Mais généralement, tout se passe entre minuit et six heures du matin.
En somme, on retient essentiellement que les jeunes, dans leur optique de divertissement et d’amusement optent pour des soirées en boîtes de nuit. Mais, le COVID-19 a émergé avec des gestes barrières à respecter, ce qui limite les attroupements et donc rend rare les soirées en boîtes de nuit. L’impatience de cette catégorie d’individus les amène à organiser de soirées clandestines et sans restriction sanitaire.